La taxonomie est le point central de la communication entre passionnés d’animaux du monde entier. Elle représente une classification du vivant sous forme d’arborescence. Elle est exprimée en latin et permet d’identifier précisément une espèce là où certains mots du langage courant peuvent faire référence à plusieurs espèces distinctes créant des confusions. Citons par exemple le cas du pissenlit.
Le principal problème est que la taxonomie n’est pas figée, elle évolue dans le temps. Les avancées scientifique permettent par exemple, grâce à l’ADN notamment de corriger des erreurs de classification. Mais il arrive parfois que certaines modifications soient d’ordre éthique pour faire disparaitre certains mots à connotation péjorative.
De plus, il peut exister plusieurs façon de classifier du vivant entrainant ainsi plusieurs façon valides de les appeler à un instant ‘t’.
Pour couronner le tout, il existe une syntaxe précise qui doit être respectée. Pour une première approche, dites vous que l’écrire en italique avec seulement la 1ère lettre du genre en majuscule et tout le reste en minuscule c’est un très bon début.
Exemple :
Cochon d’Inde (Cavia porcellus).
Et comme si cela ne suffisait pas, notre cher gouvernement n’est pas toujours à jour de ce côté. Cela implique notamment sur certains formulaires d’utiliser le nom scientifique qu’ils veulent et non pas le dernier en date.
Je reviendrai plus en détail sur la taxonomie que j’affectionne beaucoup plus tard.